Natacha Calestrémé : “La médecine douce peut être un vrai plus !”

Auteure de nombreux livres sur la santé et le bien-être, elle revient sur l’importance de la médecine conventionnelle et des bienfaits que les médecines douces peuvent apporter.

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Natacha Calestrémé : les limites des médecines “douces”

Natacha Calestrémé : les limites des médecines “douces”

02:13

Natacha Calestrémé : en quoi les médecines douces sont utiles

Natacha Calestrémé : en quoi les médecines douces sont utiles

04:14

Natacha Calestrémé : “Allez voir un médecin généraliste avant tout”

Natacha Calestrémé : “Allez voir un médecin généraliste avant tout”

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“Si vous avez quoique ce soit, la première des choses à faire c’est aller voir son médecin. Ce n’est pas discutable”, prévient Natacha Calastrémé. Elle a confié les bienfaits et les limites de la médecine douce lors des Rencontres entre médecine conventionnelle et soins naturels, qui se tenaient à Lorient début mars. 

Là où termine l’une commence l’autre ? 

Tout l’intérêt de ce rendez-vous consistait à savoir quels intérêts ces deux disciplines avaient en commun : le bien-être. Mais, d’après Natacha Calestrémé, l’une ne remplace pas l’autre.

“La médecine douce est une médecine complémentaire. Seulement après avoir eu l’opinion d’un véritable médecin généraliste, nous pouvons nous tourner vers la médecine douce. Il y a tout de même des domaines dans lesquels la médecine douce est intéressante. Dans les cas de lombalgie ou encore dans les dépressions, par exemple. Dans ces cas-là, il peut trouver ailleurs ce qu’il ne trouve pas dans la médecine conventionnelle, qui est incontournable !” rappelle l’auteure. 

L’utilité d’une médecine douce 

Les rencontres entre médecine conventionnelle et soins naturels était l’occasion de faire le point sur les accords et désacords. Une rencontre “inspirante”, selon la journaliste.

“Plus nous donnerons des bonnes informations, et mieux ce sera. Trop souvent la médecine douce donne des étiquettes (jumeaux perdus, Hqi, …) sans aller au-delà des problèmes. La médecine complémentaire doit rester ce qu’elle est : en complément”, insiste Natacha Calestrémé. 

Ce contenu audio a été diffusé le 27 mars 2023 sur AirZen Radio. Maintenant disponible en podcast sur airzen.fr, notre application et toutes les plateformes de streaming.

Par Sacha Santini

Journaliste